INTRODUCTION
Depuis le début des temps, l’être humain cherche des réponses aux questions fondamentales de la vie. Qui sommes-nous? Que faisons-nous sur la Terre? Peut-être que ces questions n’auront jamais de réponse, mais il nous est tout de même possible de reconstruire un partie de notre histoire. Ainsi, ces questions si difficile à répondre se modifient. Qui étions-nous? Qu’avons-nous fait sur la Terre? Ce raisonnement est possible grâce à une science précise: l’archéologie. Aujourd’hui, il est de plus en plus difficile d’avoir accès aux sites archéologiques, s’ils ne sont pas déjà détruits, dans plusieurs pays du Proche-Orient, plus particulièrement en Turquie. On peut alors se demander quels sont les dangers auxquels font face les sites archéologiques turcs. Pour répondre à cette problématique, il faut connaître les causes, les conséquences et les solutions sur les sites archéologiques en Turquie.
- Les causes qui mettent en danger les sites archéologiques. (Par Ann G. Roy)
En Turquie, les sites archéologiques qui ont habités la culture persane, hittite, grecque, romaine et bien d’autres[1], risquent de disparaître à jamais. Les causes mettant en danger les sites sont nombreuse, mais celles-ci ont deux origines principales: les causes d’origine géologiques et naturelles et les cause d’origine humaine.
1.1 Les causes d’origine géologiques et naturelles
Les causes géologiques et naturelles ne peuvent pas être contrôlé par les humains et peu de choses peuvent être faites pour les prévenir et encore moins pour les arrêter.
1.1.1. Les secousses sismiques
Puisque la Turquie est située sur la plaque tectonique Arabique et que celle-ci est elle-même prise entre trois plaques, la plaque Eurasienne, Africaine et Indo-Australienne, l’activité sismique y est très importante. Par exemple en 1999, la Turquie a subit une secousse sismique d’environ 45 secondes suivie par 200 autres secousse. Le tremblement de terre fût si intense, 6,7 sur l’échelle de Richter, que nous dénombrons 40 000 morts et près de 244 000 bâtiments détruits dans le bilan officiel[2]. Les secousses sismiques ont fait de graves dommages sur les structures modernes, mais du côté des sites archéologiques, ils ont été complètement dévastés.
Aussi, en plus d’être sur une plaque tectonique, la mégapole d’Istanbul est située à proximité de la faille de Marmara, localisée sous la mer du même nom[3].
Selon des chercheurs de l’institut de physique du globe de Strasbourg, de l’institut des sciences de la Terre et de l’observatoire de Kandili, il y a des séismes de petite ampleur tous les 8 mois le long de la faille de Marmara. Par chance, le mouvement de glissement provoqué par ses petits séisme au fond de la faille fait en sorte que la faille pourrait avoir un comportement en fluage ce qui réduirait le risque de tremblement de terre important dans la région d’Istanbul.[4]
1.1.2. Les pluies acides
Les pluies acides en Turquie menacent grandement les sites archéologiques. En effet, les pluies acides sont composées, entre autre, d’acide sulfurique (H2SO4) et d’acide nitrique (HNO3)[5]. Puisque les pluies acides ont une composition chimique très puissante, elles s’attaquent à certains métaux et provoque l’érosion de bâtiment[6]. Comme mentionner précédemment, les pluies acides ont la capacité d’éroder les bâtiments modernes construit avec des matériaux beaucoup plus solides que dans l’Antiquité. Les sites archéologiques turcs, construit pour la plus part en brique de boue séchée au soleil et en pierre, sont détruits par les pluies chimiques dû à la faible résistance des matériaux utilisés à l’acidité.
1.1.3. La végétation
Un autre problème auquel font face les sites historiques turcs est l’envahissement par la végétation. La nature était là avant nous et elle le sera après nous. Plusieurs villes abandonnées ont été envahie par la nature suite à la désertion des populations, comme par exemple à Pripyat en Ukraine suite à l’accident de Tchernobyl.
Les sites archéologiques turcs subissent la même chose. Puisque les sites ont été abandonné par les populations, la nature reprend le dessus. Il est donc difficile pour les archéologues d’aller fouiller les lieux des anciennes cités. De plus, certains sites ne seraient pas encore découverts puisque la densité élevé de la végétation empêche les archéologues de fouiller les sites.
1.1.4. La hausse du niveau de la mer
La hausse du niveau de la mer est un danger critique pour les sites archéologiques. Plusieurs sites historiques turcs se trouvent sur la côte de la mer Égée, notamment le site d’Hissalik (ville de Troie), reconnu par l’UNESCO[7]. Conséquence du réchauffement climatique, plus particulièrement la dilatation de l’eau et la fonte des glaces terrestres[8], la hausse du niveau de la mer inquiète de plus en plus les spécialistes. En effet, si les sites sont ensevelis sous l’eau, il faudra faire appel à des équipes d’archéologie nautique qui demande des moyens beaucoup plus considérables et les fouilles sont très lentes.[9]
1.2. Les causes d’origines humaines
Les causes d’origines humaines qui mettent en danger les sites archéologiques pourraient être facilement évitées si protéger l’histoire turque était une priorité. Par contre, il faut prendre en considération que le tourisme est la source de revenu la plus importante de la Turquie. Arrêter le tourisme de ces sites mettrait l’économie nationale en péril. Il est donc important de trouver un juste milieu.
1.2.1. La construction de ports
En Turquie, beaucoup de villes touristiques sont situées sur la côte de la mer Égée puisque la majorité des sites archéologiques y sont concentrés. Par contre, la forte concentration touristique demande la construction d’infrastructures comme des aéroports, des hôtels et des ports pour les bateaux de croisière.
Dans la majorité des pays, il existe des règles concernant la construction sur des sites archéologiques. Si des vestiges sont trouvés lors de la construction, les travaux doivent cesser immédiatement. Les vestiges sont alors analysés et juger selon leur rareté. Si les objets ne sont pas décrits comme étant de grande valeur, les travaux reprennent[10].
1.2.2. L’industrie touristique
L’industrie touristique turque a connu une hausse de 16,27% en mai dernier 2017 par rapport à la même période en 2016, ce qui représente 2 889 873 touristes[11]. Aujourd’hui, le tourisme de masse à pour effet non seulement de nuire à la qualité de vie des habitants des villes[12] mais aussi de détruit les sites archéologiques. En effet, l’afflux continuel de touristes sur les sites vieux de plusieurs millénaires endommage considérablement les sites. Les touristes ne peuvent s’empêcher de ramener un morceau du site, par exemple, un bout de pierre d’un des murs, ou encore d’écrire leur nom sur une fresque. Quand un touriste le fait c’est mal, mais ce n’est pas dangereux. Le problème devient de plus grande envergure quand 1 million de touristes font la même chose chaque jour de l’année.
1.2.3. Le pillage et les fouilles non-réglementaire
Le pillage est un phénomène qui existe depuis des siècles. Actuellement, ce phénomène est préoccupant dans plusieurs pays du monde. Cette activité clandestine a augmenté puisque le marché de l’art à lui aussi subit un bond. Le pillage amène le trafic illégal d’oeuvres d’art et d’artefacts ce qui est considéré comme un crime contre le patrimoine de l’humanité[13]. Evidemment, quand les pilleurs viennent chercher des artefacts, ils ne font pas attention aux sites ce qui les endommages.
En plus de faire face au pillage, le gouvernement turc doit s’attaquer aux archéologues qui font des fouilles non-réglementaires. Les fouilles archéologiques sont extrêmement réglementées et très dispendieuses. Pour pouvoir payer toutes ces dépenses, ils ont besoin de subventions et il n’est pas toujours facile de les obtenir. Alors, des archéologues se tournent vers les fouilles non-réglementaires.
1.2.4. Les conflits socio-politiques
Les conflits socio-politiques constituent une menace pour tous les sites archéologiques du Proche-Orient. En ce qui concerne la Turquie, le conflit en Syrie est celui qui la touche le plus. En effet, la Syrie partage sa frontière avec la Turquie ce qui fait du pays un des premiers refuges pour les Syriens fuyant la guerre.
Le conflit ne semble pas se calmer avec les mois qui passent. Les Syriens fuient en masse le régime de Bachar Al-Assad et l’armée de l’État Islamique. La Turquie est débordée et n’a pas suffisamment de place pour tous les réfugiés[14]. Un conflit éthique s’impose: faire de la place pour les réfugiés ou protéger le patrimoine?
- Les conséquences pour les sites archéologiques
Les graves conséquences des sites archéologiques turques persistent graduellement d’années en années, celles-ci sont observables sur plusieurs points précis tournants; les conséquences physique qu’elles reçoivent, telles que les constructions fragiles des sites ainsi que la modification graduelle du paysage, et les conséquences historiques et économiques qu’elles sont soumis à, telles que les pertes de données variées et l’impact touristique sur leur condition. Sur les 338 sites archéologiques sur le radar de la prospection, 38% ne sont accessible pour raison militaire; soit ils sont déjà entièrement effacé ou ils sont inondé sous l’eau. D’autres ont été détruits par la culture agricole ou la construction de bâtiments modernes. 89% des sites visités par une commission d’enquête sur 194 en phase d’être complètement détruits[15].
2.1. Les conséquences physiques
Les conséquences physique sont difficilement ignorable; c’est la destruction des traces de notre passé qui s’éteint sous nos yeux. Ces changements géographiques drastique influence grandement l’avenir de ces sites turques.
2.1.1. Des constructions fragiles
Pour constituer l’argument de constructions sans fortification, l’exemple de la vallée de Hasankeyf est extrêmement pertinente; son inondation à poursuivit majoritairement la disparition de sites du XIIe au XVIe siècle après Jésus-Christ. L’entièreté de ces monuments seraient sous l’eau; un tel pourcentage de taux de destruction est inouïe (100%). La fortification des barrages, constructions modernes et des irrigations n’ont pas été suffisamment apte à résister au temps en l’honneur de Hasankeyf[16].
2.1.2. La modification du paysage
Par l’inondation de ces mêmes sites, on peut observer un changement de courant dans la végétation autour de ces monuments historiques turques. Les régimes de vies animales et végétales doivent s’adapter constamment à la perte de consistance des sites archéologiques. Les fonctions écologiques de tous les habitats touché par la disparition, dites par inondation, implique une perte irrécupérable de leur milieu. En perdant leur dynamique naturelle, les habitats naturels perdent aussi leur productivité biologique déjà faible pour leur situation géographique[17]
2.1.3. Les conséquences historiques et économiques
La disparition des sites archéologiques turques seraient, moralement, une perte inadmissible ainsi qu’une absence qui créerait un vide dans l’esprit des chercheurs, historiens et d’autres[18]. Leur richesse réside aussi dans leur impact sur l’histoire ancienne et moderne turque ainsi que sur son économie. Donc, par une perte considérable de données et par l’impact touristique qu’occasionne régulièrement les sites, leur entretien est donc fortement négligée. Par exemple, le site d’Ephèse est extrêmement difficile à gérer et à protéger, qui s’explique par son étendue vaste, son nombre affluent de touristes qui visitent quotidiennement, la caractéristique de son architecture particulière ainsi que les divers méthodes nécessaire pour la restauration de ses monuments[19]. Malgré la difficulté de son entretien, son empreinte et sa trace historique et économique est plus qu’essentiel.
2.1.4. Des pertes de données
L’année 2016, analysé par le site de diffusion des notes de chercheurs de l’Institut Française d’Études Anatoliennes, a été très intense, notamment dès le début par la réincarnation du conflit de l’armée turque. La saison d’été, extrêmement favorable pour toutes campagnes de fouilles, n’est pas seulement soumise à une chaleur suffocante, mais une autre situation rend l’ensemble tendue dans l’est de la Turquie; l’annulation administratives des fouilles dans les régions de l’Euphrate et du Tigre par leurs directeurs ont été par précaution pour la sécurité et la valeur privilégiée de la prudence envers les archéologues. Par la suite, d’autres fouilles entourant encore l’Euphrate furent annulées, ainsi que celles de Mardin. La raison de ces annulations persistances résident dans le maintien des fouilles italo-turques de Carchemish; celles-ci sont localisées sur la frontière syro-turque. Par la suite, le directeur général de la DGAM à exiger à tout les archéologues non-originaires de la Turquie de ne pas mélanger les affaires politiques et sécuritaires turques à leur fouilles[20]. Finalement, sur le plan physique, une catastrophique inondation causerait des pertes considérables. Sans compter l’endommagement grave sur les sites, mais aussi la vie naturelle et des plantes cesseront d’exister[21].
2.1.5. Un impact sur le tourisme
Accueillant déjà 7 083 000 touristes[22] en 1995, la folie turque est bien évidente. Un tel nombre de visiteurs excèdent grandement la limite que peut contenir les nombreux sites archéologiques turcs, surtout ceux qui sont en pleine phase de destruction.
- Les solutions pour protéger les sites archéologiques
Heureusement, de nombreuses solutions existent pour permettre la protection et la conservation de ces sites connus mondialement pour leur contenu riche en ressources historiques, culturelles et scientifiques. Ces solutions seraient de contrôler l’arrivée touristique de masse, d’adopter et d’attirer à encore plus d’autres sites le titre de protection de l’UNESCO, d’appliquer des traités de protection des sites durant les conflits et plusieurs autres.
3.1. Ce qu’on peut faire
Plusieurs solutions s’ouvrent à nos portes; on peut proposer et suggérer des idées ou faire progresser des solutions déjà mises en place.
3.1.1. Contrôler le tourisme
Un récent rapport du ministère turc de la Culture et du Tourisme suggère la mise en place de l’augmentation de la part budgétaire accordée aux centres culturelles tels que les musées, ainsi que l’investissement dans la création et la formation de nouveaux employés qualifiés. Il y avait aussi la notion de protéger le patrimoine archéologique pour sécuriser et, de ce fait-même, augmenter les revenues qu’occasionne les touristes. Un point crucial de ce rapport est aussi d’encourager le développement des zones de paysage culturels[23].
3.1.2 L’UNESCO: protection du patrimoine mondiale
Le site de Diyarbakir a été classé en 2015 au patrimoine mondial de l’UNESCO, avec une délégation permanente afin de fournir un rapport sur son état de conservation. La raison de cette nouvelle est que le site-même expérimentait de graves difficultés par rapport au conflit civils des forces armées turques et des groupes armés kurdes. Le rapport fut achevé en début 2017 et des restaurations majeurs furent entreprises à l’intérieur du site turc[24].
3.1.3. Traités de protection durant les conflits
Jusqu’à ce jour, très peu de traités contre les conflits armés ont été mis en place pour contrer la constante menace de la disparition des sites archéologiques turques. Néanmoins, cela n’empêche pas l’entrée de 21 nouvelles inscriptions turques sur la liste du patrimoine mondial après une violente tentative de coup d’État[25].
3.1.4. Que faisons-nous contre la nature?
Celle-ci reste sans progrès; la solution pour contrer la décroissance de la vie végétale et animal naturelle entourant les sites archéologiques reste inconnue. Une idée purement fictive pourrait d’étudier davantage le mode de vie de ces animaux ayant créé un écosystème autour de ces sites turques, ainsi de faire des recherches sur la croissance naturelle chez les plantes qui disparaissent à une vitesse fulgurante. Après avoir récolté plus d’information sur chacune, peut-être une solution plus claire cheminera à bon port.
3.1.5. Le déplacement des sites mais à quel prix?
Le déplacement de sites turques en graves danger reste une solution finale et demande une recherche approfondie pour déployer les moyens de lui offrir un nouvel emplacement. Cependant, dans le passée, l’UNESCO a «sauver» le temple d’Abou Simbel. Malgré plusieurs difficultés et une organisation chancelante, le sauvetage de ces monuments furent un succès à l’échelle planétaire. Ces temples, entièrement restauré comme l’original, furent inaugurés en 1968, lors d’une gigantesque cérémonie au pied de ces-derniers. Lors du discours d’inauguration, l’UNESCO adopte, pour une des rares fois, une atmosphère quasi-religieuse avec des lectures du Coran, offrant hommage aux dieux représentés[26].
CONCLUSION
En conclusion, les sites archéologiques turcs subissent beaucoup de dommages causés à la fois par la nature et les humains. Plusieurs conséquences en découlent et des solutions s’offrent au gouvernement pour protéger ces sites, comme par exemple, contrôler le tourisme. Par contre, ces solutions ont un coût. Sommes-nous prêt à investir des milliards de dollars pour conserver l’histoire et l’héritage turc au détriment du tourisme? Un choix s’impose et il doit être fait judicieusement.
[1] Lionel JEAN, Histoire sociolinguistique de l’Empire ottoman et de la Turquie moderne [en ligne] http://www.axl.cefan.ulaval.ca/asie/turquie_2HISt.htm [consulté le 17 novembre 2017]
[2] PERSPECTIVE MONDE, Tremblement de terre en Turquie, site de Perspective Monde [en ligne] http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMEve?codeEve=1067 [consulté le 14 novembre 2017]
[3] CNRS, Des séismes qui se répètent tous les 8 mois le long de la faille de Marmara, site de CNRS [en ligne] http://www.insu.cnrs.fr/node/6071 [consulté le 14 novembre 2017]
[4] Ibid.
[5] GOUVERNEMENT DU CANADA, Pluies acides: causes et effets, site du gouvernement du Canada [en ligne] https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/pollution-atmospherique/enjeux/pluies-acides-causes-effets.html [consulté le 14 novembre 2017]
[6] Christophe MAGDELAINE, Les pluies acide: définitions et conséquences, site de notre-planète.info [en ligne] https://www.notre-planete.info/environnement/pollution_air/pluies_acides.php#consequences [consulté le 16 novembre 2017]
[7] Chloé LEBRETON, Le site archéologique de Troie, site Histoire pour tous [en ligne] http://www.histoire-pour-tous.fr/dossiers/85-antiquite/5453-site-archeologique-troie.html [consulté le 16 novembre 2017]
[8] GB, Les causes de l’élévation du niveau de la mer, site Conservatoire Nature [en ligne] http://www.conservation-nature.fr/article2.php?id=129 [consulté le 16 novembre 2017]
[9] Patrice POMEY et André TCHERNIA, Archéologie (Méthodes et techniques), site de l’Encyclopédie Universalis [en ligne] https://www.universalis.fr/encyclopedie/archeologie-methodes-et-techniques-l-archeologie-sous-marine/ [consulté le 17 novembre 2017]
[10] C. DOLEUX, Découvert archéologique sur un chantier de construction: que dit la loi?, site de Système D [en ligne] https://www.systemed.fr/conseils-bricolage/decouverte-archeologiques-ce-que-dit-loi,4247.html [consulté le17 novembre 2017]
[11]TRT, Turquie: Forte hausse du nombre de touristes étrangers en mai, site de TRT [en ligne] http://www.trt.net.tr/francais/culture-divertissement/2017/06/29/turquie-forte-hausse-du-nombre-de-touristes-etrangers-en-mai-761370 [consulté le 17 novembre 2017]
[12] Marie-Andrée DELISLE, Le côté sombre du tourisme de masse, site de Radio-Canada [en ligne] http://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/medium-large/segments/panel/34145/tourisme-de-masse-cote-sombre-bertrand-delisle [consulté le 17 novembre 2017]
[13] ICOM, Le trafic illicite des biens culturels dans le monde, site du conseil international des musées [en ligne] http://archives.icom.museum/trafic.html [consulté le 17 novembre 2017]
[14] RADIO-CANADA, Syrie: l’engrenage de la guerre, site de Radio-Canada [en ligne] http://ici.radio-canada.ca/sujet/syrie [consulté le 17 novembre 2017]
[15] Damien BISCHOFF et Jean-François PÉROUSE, La question des barrages et du GAP dans le Sud-Est anatolien : Patrimoines en danger ? Nouvelle édition [en ligne]. Istanbul : Institut français d’études anatoliennes, 2003 (généré le 16 novembre 2017).
[16] ibid.
[17] ibid.
[18] ibid.
[19] GETTY CONSERVATION INSTITUTE, Getty Museum. La conservation des sites archéologiques dans la région méditerranéenne: Une conférence internationale. Getty Publications, Los Angeles, 1998, 176 pages.
[20] DIPNOT. ACTUALITÉS. État de l’archéologie en Turquie pour l’année 2016-2017. [en ligne]. http://dipnot.hypotheses.org/2153 [page consulté le 17 novembre 2017].
[21]Damien BISCHOFF et Jean-François PÉROUSE, La question des barrages et du GAP dans le Sud-Est anatolien : Patrimoines en danger ? Nouvelle édition [en ligne]. Istanbul : Institut français d’études anatoliennes, 2003 (généré le 16 novembre 2017).
[22] LA BANQUE MONDIALE. DONNÉES. Tourisme international, nombre d’arrivés. [en ligne]. https://donnees.banquemondiale.org/indicateur/ST.INT.ARVL [page consulté le 17 novembre 2017].
[23] DIPNOT. ACTUALITÉS. État de l’archéologie en Turquie pour l’année 2016-2017. [en ligne]. http://dipnot.hypotheses.org/2153 [page consulté le 17 novembre 2017].
[24] ibid.
[25] ibid.
[26] Chloé MAUREL, Le sauvetage des monuments de Nubie par l’UNESCO (1955-1968), [en ligne]. http://ema.revues.org/3216 [page consulté le 17 novembre 2017].